Comment s’accorder la permission de s’épanouir? Dans notre société, on a pris l’habitude de faire les choses d’une certaine façon, parce qu’on attend cela de nous.

On est poli, gentil, on pense aux autres. On fait ce qu’on attend de nous. On est de bons élèves. Jusque-là, tout va bien. Sauf qu’avec le temps, les croyances s’ancrent un peu plus et on en arrive parfois à ne plus rien se permettre.

S’accorder la permission de s’épanouir

On aimerait, mais on ne fait pas.
Et pourquoi? Parce qu’on ne se donne pas la permission.

Je ne parle pas de tout envoyer voler. Je parle de se donner la permission de faire ce qui nous rend heureuse.

Une fois n’est pas coutume, si je te parle de cela aujourd’hui, c’est parce que je connais assez bien cette situation. Ou du moins, je l’ai bien connue.

S’accorder la permission de s’épanouir

A force de faire ce que je pensais qu’on attendait de moi ou ce qu’il serait de bon ton que je fasse, je me suis longtemps (et souvent) mise dans une petite boite où je ne pouvais plus bouger.
Et puis un jour, la boite est devenue vraiment trop petite.

Se donner des permissions, c’est se donner l’opportunité qu’ouvrir cette boite et de prendre de l’air frais. C’est réaliser que, en sortant de la boite, il y a toute cette vie merveilleuse autour de nous dont on s’est coupé trop longtemps. Une fois de plus, cela ne veut pas dire écraser tout le monde sur son passage “parce qu’on a envie”.
Cela veut dire se permettre de rêver à ce qui te ferait vraiment du bien, ce qui te ferait vraiment plaisir, ce qui te rendrait vraiment heureuse.
Tu serais sans doute étonnée de constater que tu de demandes pas la lune.

Comme tu le sais sans doute maintenant, je me suis longtemps sentie coincée dans mon ancien travail.
Il me paraissait inconcevable d’en changer. J’ai même cru, à un moment, que si je tombais vraiment malade, ce serait le signal pour changer.

Heureusement pour moi, ça n’a pas été une maladie mais la grossesse de ma troisième fille qui m’a forcé à lever le pied. Force est de constaté que 8 mois d’absence ont remis de l’ordre dans mes idées. Mon retour au travail n’a duré que 4 petites semaines pour que je réalise que c’était trop. Maintenant, je devais dire stop et faire ce qui était bon pour moi.
Il n’y avait plus de peur ou de doute à ce moment-là. Je me suis donné la permission d’être heureuse tous les jours, et non plus juste les week-ends et les vacances.

S’accorder la permission de s’épanouir

Alors les permissions que tu peux te donner ne doivent pas nécessairement être de cette ampleur (j’avais quand même déjà pris “préparer le terrain” avant de démissionner”).

Mais tous les jours, tu peux te donner la permission de faire des petites choses qui peuvent te faire du bien :

  • prendre 5 minutes pour respirer au soleil avant d’aller chercher tes enfants à l’école,
  • prendre un bain moussant avec de la musique dès que tes kids sont au lit,
  • prendre quelques minutes avec toi pour faire le point sur ce que tu souhaites et ce dont tu as besoin.

Qu’aimerais-tu faire aujourd’hui que tu n’oses pas encore faire?

Et si cela te fait peur, dis-toi que tu ne dois pas tout mettre en place immédiatement. Commence avec des petites choses, des choses simples, qui te semble réalistes et qui te font envie.

C’était quand la dernière fois que tu t’es permis quelque chose?

Si tu sens que tu as besoin d’un coup de main pour oser mettre des nouvelles choses dans ton quotidien et OSER, alors prends rdv maintenant pour qu’on puisse faire connaissance.

Je m’appelle Isabelle et je suis coach.

​J’accompagne les femmes à retrouver leur équilibre de vie & à s’autoriser à rayonner.

Parce que tout est possible,
what’s your next step ?